Jannick Deslauriers est une artiste visuelle de 22 ans de Montréal. Son projet Fracture, une incarnation physique du phénomène du langage fracturé, a été présenté dans le cadre de Miniartextile, une exposition internationale tenue à Montréal du 9 novembre au 17 décembre 2017.
La Fracture de Mademoiselle Deslauriers est composée de 5 parties différentes : sa vision scientifique sur la façon dont nos compétences linguistiques sont limitées et comment nous pouvons les améliorer par l’exercice ; sa structure physique, qui est une animation tournant en boucle ; sa version électronique (open source), utilisable en classe ou en ligne ; et enfin, son application de réalité augmentée.
Le Cégep Marie-Victorin est le seul établissement québécois à offrir des programmes académiques en arts visuels. Il a des partenariats avec des institutions comme le Musée des beaux-arts de Montréal ou le Musée d’art contemporain de Montréal.
L’événement a réuni des scientifiques, des artistes et des techniciens travaillant avec différents médiums pour explorer de nouveaux concepts dans le domaine des arts visuels.
Le Cégep Marie-Victorin est le seul collège public francophone à Montréal où les étudiants peuvent étudier en art et en design. Ce collège est unique en raison de sa proximité avec de nombreux musées et institutions culturelles.
Jannick Deslauriers a été invitée par le Musée des beaux-arts de Montréal à présenter son projet Fracture. Son exposition portait sur l’origine des couleurs.
En 2016, Jannick Deslauriers a été invitée à présenter son projet Fracture dans le cadre de Miniarttextile, une exposition internationale à Montréal. Fracture est une projection numérique dans une galerie. Alors que l’artiste se concentrait sur une œuvre d’art déjà existante et travaillait avec elle, elle a réexploré la façon dont nous consommons les arts visuels.
Elle a également été invitée à présenter son projet Fracture dans le cadre de Miniartextile, une exposition internationale à la Cité des sciences et de l’industrie
En tant qu’artiste multimédia, Jannick Deslauriers s’intéresse à l’intersection de la science et des arts visuels. Son projet Fracture emmène le spectateur dans un voyage dans la mer où il trouvera des objets qui ont été rompus par des forces naturelles et d’autres qui sont fabriqués artificiellement.
Elle s’est intéressée à l’art après le décès de son père d’un cancer alors qu’elle n’avait que 11 ans. Après sa mort, elle a dû s’occuper de sa sœur cadette en plus de ses études, ce qui l’a amenée à se concentrer sur l’art en tant que forme de soins personnels. Elle est diplômée de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Montréal puis a étudié au Cégep Marie-Victorin où elle a complété un programme menant à un diplôme interdisciplinaire en Arts visuels + Sciences + Histoire. Dans le cadre de leur.
En juin 2019, Jannick Deslauriers a été invitée à présenter son projet Fracture dans le cadre de Miniartextile, une exposition internationale organisée par l’Institut de Création Industrielle et l’École d’art visuel.
L’artiste montréalaise Jannick Deslauriers s’est intéressée pour la première fois aux sciences lorsqu’elle a étudié pendant un an à l’Université de Montréal pour en savoir plus sur le fonctionnement du monde. Après avoir obtenu son diplôme universitaire, sa curiosité l’a amenée à étudier les arts visuels au Cégep Marie-Victorin. Pendant ce temps, elle a fait des recherches sur les fractales et d’autres concepts mathématiques liés aux arts visuels et a finalement créé une série de nouvelles œuvres d’art qui ont abouti à de multiples expositions, notamment : “Fracture”, une œuvre qui examine la relation entre la géométrie et l’architecture (2018), “Mappings” (2018-2019), “Bending Pixels: Warring States” (2017).
Jannick Deslauriers a été invitée à présenter son projet Fracture dans le cadre de Miniartextile, une exposition internationale.
L’installation était composée d’une grande table en bois avec six petits morceaux de bois cassés et collés avec divers objets. Chaque morceau était découpé dans une forme et une forme différente, les cinq petits morceaux étaient disposés sur la table en fonction de leur taille. La sixième pièce, qui est la plus grande, avait trois formes produites à partir de celle-ci : une grande forme conique (la tête), deux disques plus petits qui composent les yeux et une ligne circulaire autour du bord.
L’un de ces objets provient de l’environnement naturel ; un autre objet provient de l’industrie artificielle ; il y a aussi un objet qui a été créé par cette artiste elle-même.